“En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien. Pour ces hommes venus de tous horizons, s’échapper de cet enfer ne sera que le début de l’aventure… Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l’Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine. Certains s’arrêteront en chemin, d’autres ne survivront pas aux épreuves. L’Inde – alors sous contrôle anglais – est le but ultime. Mais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets…”
Exprimons simplement une légère déception: la fin à focalisation unique. Nous pensions voir l’histoire d’un groupe d’homme mais ce film est en réalité focalisé sur la vie d’un seul homme, qui fut le leader d’un groupe atypique suivant les chemins de la liberté de la Sibérie jusqu’aux Indes. Le problème est qu’il ne faut pas deux heures pour s’attacher à tous les membres de ce groupe et nous donner l’irrésistible envie de savoir ce que les autres personnages sont devenus… A la fin.
Enfin, on ne peut pas toujours tout savoir et il nous faudra nous contenter de ce qu’on nous offre et rester sur notre faim (A moins que… Z’auriez pas une poire dans votre poche, par hasard?)… Tant pis!