Compte-rendu de l’année 2008: Dialogue d’un chien avec son maître sur la nécessité de mordre ses amis:
Très axé sur le burlesque (surtout au niveau costume et gestuelle) tout en étant une réelle satire sociale, Jean-Marie Piemme se moque de notre société, de ses travers et de ses absurdités. Il joue évidemment sur l’accession au statut d’être pensant et communicant du chien et pose très clairement la question suivante: Qui de l’homme ou de l’animal fait preuve de plus d’humanité? On rigole beaucoup mais fondamentalement la pièce révèle cette inquiétude, ce mal du siècle, ce questionnement permanent sur l’avenir de l’humanité et témoigne de la prise de conscience pertinente et “ironisante” de l’auteur.
Compte-rendu de l’année 2008: Si c’est un homme
Adaptation du texte de Primo Levi. Évidemment, ce n’est pas très gai (y?) mais cela nous permet de ne jamais oublier. C’est très particulier de voir une pièce jouée par un seul acteur, cela donne, bien sûr, plus de poids à ses paroles mais, c’est perturbant! Quoiqu’il en soit, je trouve qu’il jouait très bien 🙂
Compte-rendu de l’année 2008: Le Bourgeois gentilhomme
Cf. article.
Et …
Compte-rendu de l’année 2008: La maison de Bernarda Alba…
Pièce où je fus Amélia: Potiche ou blasée, on ne le saura jamais à moins d’aller dépoussiérer Garcia Lorca mais enfin… (Cf. article).